Mes débuts (suite de Une première) : Lui

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 5 ans

Pour cette séance, j'ai décidé de la pousser, la sortir de son petit confort, voir comment elle va reagir, en gardant conscience qu elle est encore toute jeune dans le domaine. Je l'ai invitée à me retrouver dans un donjon prêté par un ami.Je l'attends clope au bec au fond de la pièce, dans la pénombre.

J'entends claquer ses talons dans le couloir. L'ami en question lui a ouvert la porte et montré le chemin. Elle apparaît enfin dans l'embrasure de la porte. Les bougies et les machines de torture la plongent tout de suite dans l'ambiance.Je lui balance une vieille blouse blanche:- Monsieur c'est vous ?- Déshabille-toi et enfile ça !Elle s'exécute. J'ai bien repéré sa taille, elle lui va comme un gant, juste cintré comme il faut pour mettre ses formes en valeur.- Rejoins-moi à quatre pattes !Elle s'appuie sur ses mains et ses genoux pour avancer.

  • Que fais-tu ?

  • Ce que vous m'avez demandé.- Monsieur... Ce que vous m'avez demandé, Monsieur.-Pardon, Monsieur

  • C'est quoi ce vocabulaire. Reprends ta dernière phrase.- Je ne comprends pas Monsieur.- Pardon, c'est trop familier. Et nous n'avons pas élevé les cochons ensemble !- Veuillez... Excuser... Mon comportement, Monsieur.- Bien avance maintenant mais sexy. Chacun de tes mouvements, chacune de tes paroles doit être dirigé vers mon plaisir. Alors remue ton cul, chienne !Elle stoppe à ma hauteur, les yeux rivés sur moi.- D'où te permets-tu de me fixer ainsi. Baisse la tête chienne ! Tu acquerras des droits quand tu auras mérité de m'appeler "Maitre". Pas avant !- Oui Monsieur.- Cela fait beaucoup d'erreurs.- Pard... Veuillez pardonner mes...

  • Je ne pardonne rien du tout !Je lui écrase le pied sur son visage, pas pour lui faire mal, juste pour l'impressionner. Et ça marche.Je lui relève le bas de sa chemise. Elle tremble de peur. Mais elle sait qu'elle peut rompre la séance à tout moment si elle le désire.

Elle a reçut plusieurs SMS à ce sujet. Elle m'a répondu qu'elle n'en ferait rien, que je serais fier d'elle!Elle percevait maintenant une grande partie des subtilités de la relation qui unit un dominant et sa soumise. Elle en a dans la caboche la petite, et ça me plait!Je me saisis de la cravache à ma droite. Tout en lui piétinant la face, j'abats le jugement divin sur son postérieur, cinq coups, assez fort pour que son cul se dandine cherchant à échapper au supplice, pas assez fort pour la faire hurler. Elle serre les dents.- Relève bien ton cul. Cambre tes reins et laisse ta petite gueule d'ange au sol.- Oui Monsieur.- Cette position sera pour toi le parcmètre. Est-ce que tu as compris ?- Le parcmètre. Oui Monsieur.- Sur le dos, Coudes au sol, les mains retiennent ton cul en l'air. Ecarte les jambes, ta moule bien en évidence,Petit coup de cravache sur la moule:- Mieux que cela, j'ai dit ! Garde l'équilibre ! Creuse tes reins !

La position doit être parfaite pour ne pas dégrader ta beauté ! Certaines positions demandent de l'entrainement !Je m'agenouille devant elle. j'approche mon visage entre ses jambes et entame un cunnilingus profond. Comme je m'y attendais sous l'effet de la langue, elle perd pied et l'équilibre par la même occasion:- Tant pis pour toi ! Tu as raté l'occasion de jouir ! A chaque fois que je te dirai Trépied tu adopteras cette position.Debout maintenant!Je la traine jusqu'à un gode fixé au sol par une tige:- Mains jointes en l'air. Les pieds écarté au maximum comme la Tour Eiffel.Elle atteint à peine le bout du gland.- C'est tout ce que tu peux faire ?Je lui enroule une corde autour de ses mains.Je lui décale un appui vers l'extérieur en le crochetant avec mon pied.

Elle grimace.Son vagin s'ouvre sur le passage de la bite en plastique qui se met à vibrer.- Ne bouge pas !Je lui claque les fesses. Elle s'habitue à l'amplitude. Elle gémit, les effets de rotation dans son con.Je presse ses épaules vers le bas pour lui faire gagner quelques millimètres. Elle glapit !- C'est un peu rigide tout cela ! J'estime que ma soumise se doit d'être le plus souple possible. Et on est très, très loin du grand écart.Par un jeu de treuils, je tourne une manivelle qui tire la corde vers le haut l'aidant à se relever.Redescends maintenant. Je lui lâche du leste.Elle s'empale à nouveau, lentement. pas de beaucoup mais suffisamment pour contempler son visage se déformer sous l'excitation.Je la relève. Ses talons touchent à peine le sol. Je fais en sorte qu'elle me voit saisir une canne.

Je passe derrière elle. Je pose la canne sur le côté et lui arrache d'un seul coup la blouse de haut en bas :- Non Monsieur ! Vous n'allez pas ?- Tu as peur?- Oui.- Oui qui?- Oui Monsieur.- Tu sais ce que cela signifie?- Vous allez me punir, Monsieur. Mais je vous en supplie, pas la canne !Je passe ma main sur sa joue, Mes doigts descendent entre ses seins. Je lui fait percevoir sur ses fesses, la raideur de ma queue.

  • Tu ne me fais pas confiance ?

  • Si Monsieur.

  • Si je te dis que je vais te frapper très fort, que tu vas avoir mal mais que ça ira. Tu me crois?

  • Je... Je ne sais pas.

  • Tu veux arrêter ?

  • Peut-être bien.

  • Peut-être bien n'est pas une réponse. Soit tu as confiance, soit tu n'as pas confiance.

  • J'ai... J'ai confiance Monsieur

  • Bien.J'attrape le petit martinet que j'avais préalablement dissimulé. C'est un martinet simple et souple, Les lanières cinglent un peu mais rien de bien méchant.

Je la laisse cogiter plusieurs secondes. Je suis persuadé qu'elles sont interminables pour elle. D'ailleurs elle a fermé les paupières, concentrée.Les lanières giflent la peau de son dos.- AHHHHHHHHHH !!!!!Elle hurle comme si je l'avais fouettée. Je dois avoué que mon sexe prend de plus en plus d'ampleur dans le pantalon.Le second coup est pour son cul !Elle crie, beaucoup moins fort que le premier. Elle a dû cette fois moduler la tension de ses cordes vocales à la sensibilté de son corps.Je stoppe un instant.

Ce qu'elle est belle ainsi découverte, attachée et offerte. Je m'approche à nouveau d'elle :

  • Je suis fier de toi.

  • Merci Monsieur.

  • Mais je n'en ai pas fini avec toi. Tu le sais?

  • Oui Monsieur.

Je lui caresse les seins, hume son odeur. En cet instant, Je la désire plus que tout.Mes doigts la pénètrent, elle halète. Pas encore. Je scotche un vibromasseur sur son vagin. Ses reins se cambrent.Je recule d'un pas, frappe à nouveau son cul, puis son dos.

  • Tu aimes chienne, cambre-toi en arrière.La combinaison cuir et vibrassions ont raison rapidement de sa raison. Elle ne sait plus ou elle en est. Je lâche le martinet. Je m'agrippe à elle, à sa gorge et à son sexe. Je m'enfonce en elle d'un seul coup.- Oh oui !!! Prenez-moi fort !Je me déchaîne. je la défonce à coups de bites.Elle jouit, je la rejoins.Je la détache.Elle tombe à genoux, exténuée.

  • Monsieur, c'est la première fois.

  • La première fois que quoi ?

  • Que vous me baisez avec votre queue.

  • J'ai estimé que tu l'avais méritée.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement